Đặt câu với từ "politesse"

1. Cependant, la bonté chrétienne doit être plus qu’un léger vernis de politesse et de courtoisie.

Christliche Güte sollte jedoch mehr sein als eine oberflächliche Höflichkeit und Liebenswürdigkeit.

2. Ludovic, quand Madame te dit bonsoir, tu pourrais avoir la politesse de répondre.

Ludovic, wenn Madame dir Guten Abend sagt, könntest du so höflich sein, ihr zu antworten.

3. Madame la Présidente, Messieurs les Commissaires, du point de vue de la commission de l'emploi et des affaires sociales et sans fioritures de politesse, il est difficile de dire beaucoup de bien du résultat de Doha, sans parler de l'absence de toute composante sociale dans le commerce mondial.

Frau Präsidentin, meine Herren Kommissare! Ohne Höflichkeitsfloskeln - so schönreden kann man das Ergebnis von Doha gar nicht, um das Fehlen jeglicher sozialer Komponenten im Welthandel nicht zu bemerken, zumindest aus der Sicht des Ausschusses für Beschäftigung und soziale Angelegenheiten.

4. Il ressort du dossier soumis à la Cour que Mme Pontin, laquelle ne semble pas avoir été, à l’époque, représentée par un avocat, avait adressé sa requête, en forme de lettre, au «Tribunal du travail – Aux mains de Monsieur le Président et de ses Assesseurs», et avait débuté ses observations écrites par la formule de politesse «Monsieur le Président».

Aus den dem Gerichtshof übermittelten Akten ergibt sich, dass Frau Pontin, die zum damaligen Zeitpunkt offenbar nicht von einem Rechtsanwalt vertreten wurde, ihre Klage in Form eines Briefes an das „Arbeitsgericht – zu Händen des Herrn Präsidenten und seiner Beisitzer“ gerichtet und ihre schriftlichen Ausführungen mit der Höflichkeitsformel „[Sehr geehrter] Herr Präsident“ eingeleitet hatte.

5. Elles n’avaient qu’à siffler, ces lèvres, et le Vatican s’écroulait” ; tout cela à défaut de la politesse française, de la langue de La Fontaine, des boutiques du Quai Voltaire, de l’élégance des Parisiennes (petites cousettes — dont la grisette Mathilde — et lionnes illustres), des bonnes manières dans les Salons, synonymes d’égalité sociale (cette égalité que Robert et Clara Schumann ne devaient retrouver que sur le bateau les ramenant de leur périple russe) sans mentionner les auteurs à la mode du jour : les Dumas, Balzac, Gérard de Nerval, Sainte-Beuve, George Sand, Béranger ou les philosophes Hegel et Marx qui, toujours au nom de l’Egalité, fortifièrent son Saint-Simonisme, en sus des peintres Français qui lui montrèrent le chemin de la Liberté, comme Delacroix au Salon de 1831 dont la signature même monterait, paraît-il, à l’assaut de la Barricade.

Die Mutter von Heinrich Heine sprach Hebräisch, Lateinisch, Griechisch, während er selbst die Rudimente der französischen Sprache bei Rataplan-Legrand lernte, Trommler der Grande Armée (den eine Logis-Verfügung zur Zeit der französischen Besetzung in die Familie Heine in Düsseldorf geworfen hatte), der das Wort “Freiheit” erklärte, indem er die Marseillaise trommelte, das Wort “Gleichheit”, indem er das Ça ira schlug und der dem jungen Heinrich den Kult des “Kaisers” (Napoleon) — so wird ihn Robert Schumann in seinen Moskauer Gedichten bezeichnen — eintrichtern wird, dessen Lippen nur zu pfeifen hatten und Preußen existierte nicht mehr. Sie hatten nur zu pfeifen, diese Lippen, und der Vatikan brach zusammen (Heine dixit); in Abwesenheit der französischen Höflichkeit (oh Freud !